Irène FRAIN aux rendez-vous de La Baule nous présente son dernier ouvrage : « Un crime sans importance »
En janvier, Didier Van Cauwelatert venait clamer que La bienveillance est une arme absolue et qu’il est « urgent de la radicaliser, de la pratiquer sans peur, sans honte, sans modération et sans nuances ».
Hier, c’était au tour d’Irène FRAIN de venir nous parler de son dernier livre « Un crime sans importance ».
Pendant une heure, elle nous raconte sa mise sous silence suite au meurtre de sa sœur.
Comment choisit-elle ses sujets ?
« Je me laisse porter par les sujets qui m’entourent » nous explique-t-elle.
Ce sujet s’est imposé à elle, un dimanche matin, lorsqu’elle reçoit un mail, froid et administratif, de la part de son neveu qui lui apprend que sa sœur ainée, Denise, vient de décéder suite à une agression.
C’est à ses funérailles qu’elle comprend que Denise a agonisé à l’hôpital pendant sept semaines, sans qu’elle n’en sache rien.
Denise, cette sœur qui lui a donné accès à la culture, qui l’a toujours tirée vers le haut, mais dont elle n’avait plus beaucoup de nouvelles. En effet, malade, Denise n’a que très peu de relations avec l’extérieur.
Ce livre, cri de colère à l’origine, se révélera finalement l’élément déclencheur d’une enquête qui n’avait jamais commencé.
Je vous en parle davantage dans mon article du Blog du Hérisson.